I guess Rosebud is just a piece in a jigsaw puzzle... a missing piece

Pour sa sortie de Mars, PLAKAT vous propose une toute nouvelle création originale, inspirée d’un des films les plus cultes de notre existence… CITIZEN KANE !

                      

Et à cette occasion, le blog PLAKAT revient sur ce film mythique, qui cache de nombreuses anecdotes. 

En quelques phrases, Citizen Kane retrace la vie de M.Kane, mort dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « rosebud » et en laissant échapper de ses mains une boule de neige. Un journaliste reporter, Jerry Thompson, est chargé de trouver la signification de ce dernier mot.  

      

Mais qu’est-ce que cela peut vouloir dire ? Pourquoi Rosebud ? 

Le film prend fin, et Thompson ne sait toujours pas à quoi renvoie Rosebud. Parmi les innombrables objets de Kane qui sont détruits, figure la luge que Kane possédait au moment d’être séparé de sa mère. Sur la luge, on peut encore lire l’inscription peinte : "Rosebud"...

            

Citizen Kane n’est pas vraiment une référence cinématographique pour son histoire, mais plutôt pour le fait qu'il était extrêmement en avance sur son temps sur plusieurs aspects scénaristiques. Pour rappel, le film est sorti en 1941, soit il y a 81 ans.

C’est notamment l’utilisation de caméras avec une très grande profondeur de champs qui est révolutionnaire à cette époque. L’action peut se passer au premier, deuxième, ou troisième plan. Véhiculer des messages sans dialogue est maintenant possible : « Show don’t tell ! » 

         

Raconter la vie de Kane entièrement en flashbacks était aussi une approche innovante. Les flashbacks avaient été utilisés dans des films antérieurs, mais Citizen Kane les utilisait de manière plus efficace et plus importantes. 

Il a ouvert le champ des possibles dans l’industrie cinématographique et a permis des avancées majeures dans cet art encore très nouveau à l’époque.

Citizen Kane est un film révolutionnaire qu’il faut voir et revoir pour en saisir l’importance fondamentale, une affiche qu’on se devait d’ajouter à notre catalogue des grands classiques.